Un exemple
parmi tant d’autres du changement drastique, mais pas dramatique, de la vie
d’un homme à la recherche d’un sens à sa vie.
Dave, un Américain
d’une cinquantaine d’années, décrit ainsi sa vie : « Si je te disais
qu’il y a encore cinq ans je pesais cent soixante kilos, que j’étais malade,
dépressif et pas bien dans ma peau, me croirais-tu ? »
C’était en
2011, je me trouvais aux États- Unis et ma vie était au point mort.
Comme pour de nombreux occidentaux la vie n’avait pas été très indulgente avec moi jusqu’à ce début d’année 2011. Et pourtant, je pense que j’avais suivi ce qui est la norme dans mon pays.
Comme pour de nombreux occidentaux la vie n’avait pas été très indulgente avec moi jusqu’à ce début d’année 2011. Et pourtant, je pense que j’avais suivi ce qui est la norme dans mon pays.
La grande valise noire
J’avais subi un divorce, des mises à pied, une faillite, des difficultés du fait de troubles mentaux et je constatais une détérioration rapide de mon état de santé. S’il me fallait résumer ce que ma vie était devenue, trois mots me viennent à l’esprit : misérable, chaotique et désordonnée.
À mon avis,
j’avais fait tout ce qui est censé être fait afin de réaliser le ‘’Rêve
Américain’’.
J’étais allé à l’université, j’avais travaillé dur, je m’étais marié, j’avais fait des enfants, j’avais gravi les échelons dans mon entreprise, j’avais acheté une maison et je pensais être dans la norme, parfaitement intégré dans la le système. J’achetais les choses que les médias et le gouvernement nous disaient d’acheter pour notre bonheur, pour être heureux… En fait, je n’étais que l’un de ces moutons qui faisait ce que l’on lui disait de faire, sans réfléchir, sans demander pourquoi, j’étais totalement conditionné.
J’étais allé à l’université, j’avais travaillé dur, je m’étais marié, j’avais fait des enfants, j’avais gravi les échelons dans mon entreprise, j’avais acheté une maison et je pensais être dans la norme, parfaitement intégré dans la le système. J’achetais les choses que les médias et le gouvernement nous disaient d’acheter pour notre bonheur, pour être heureux… En fait, je n’étais que l’un de ces moutons qui faisait ce que l’on lui disait de faire, sans réfléchir, sans demander pourquoi, j’étais totalement conditionné.
Au tout début
de l’année 2011, j’ai été gravement malade et sur mon lit d’hôpital j’ai fait
le point.
J’ai compris que tout ce que j’avais fait jusqu’à maintenant ne me menait à rien. Le système ne fonctionnait pas pour moi, je demeurais insupportablement malade, misérable et solitaire.
J’ai alors
compris qu’il me fallait drastiquement changer le cours de ma vie.
Chez moi le
changement a pris la forme d’une rencontre sur internet.
Une jeune femme qui vivait à plus de douze mille kilomètres de chez moi, une jeune femme philippine dont je suis tombé amoureux après quelques semaines d’échanges sur le net. Ce qui est étrange, c’est que j’ai tout de suite compris qu’elle m’aimait aussi.
Une jeune femme qui vivait à plus de douze mille kilomètres de chez moi, une jeune femme philippine dont je suis tombé amoureux après quelques semaines d’échanges sur le net. Ce qui est étrange, c’est que j’ai tout de suite compris qu’elle m’aimait aussi.
Je
connaissais un tout petit peu les Philippines, pour y avoir fait un rapide voyage
afin d’écrire un rapport, du temps où je me trouvais à l’université.
Chaque jour
ma relation avec Sonia s’épanouissait. Peu à peu elle arrivait à m’extirper de
la coquille dans laquelle je m’étais enfermé. Je ne pensais plus qu’à une
chose, la rejoindre sur la toile le plus souvent possible Petit à petit, les engrenages rouillés de mon
cerveau malade se sont remis à fonctionner et mon esprit est devenu plus clair.
J’ai enfin compris qu’il me fallait m’échapper de ma vie actuelle qui n’était
plus qu’une corvée. Je savais désormais que je voulais épouser Sonia et qu’il allait
me falloir pour cela apporter quelques modifications draconiennes à mon mode de
vie.
J’ai commencé
à faire des plans.
Je dois dire que ces plans n’ont pas été vraiment du goût de ma famille.
J’allais laisser tout ce que j’avais et ceux que je connaissais pour partir aux Philippines.
Certains ont dit que j’étais fou, mais ça je le savais déjà, d’autres ont simplement secoué la tête et ont souri.
Je dois dire que ces plans n’ont pas été vraiment du goût de ma famille.
J’allais laisser tout ce que j’avais et ceux que je connaissais pour partir aux Philippines.
Certains ont dit que j’étais fou, mais ça je le savais déjà, d’autres ont simplement secoué la tête et ont souri.
Un jour je me
suis assis et j’ai réellement songé à ce que je prévoyais de faire.
J’allais partir pour un endroit du monde situé aux antipodes, un endroit que la majorité considère comme un pays du tiers monde, qui ne présente aucune sécurité et j’allais y épouser une jeune femme de dix-huit ans ma cadette, une femme que je n’avais jamais vue en chair et en os.
J’allais partir pour un endroit du monde situé aux antipodes, un endroit que la majorité considère comme un pays du tiers monde, qui ne présente aucune sécurité et j’allais y épouser une jeune femme de dix-huit ans ma cadette, une femme que je n’avais jamais vue en chair et en os.
La pensée que
je faisais peut-être une grosse bêtise m’a bien effleuré, mais lorsque je
retrouvais Sonia sur le net, toutes mes peurs et mes angoisses disparaissaient.
J’avais lu des histoires horribles de jeunes Philippines qui ne se faisaient
épouser que pour venir aux États-Unis et qui, une fois sur place, abandonnaient
les pauvres imbéciles qui les avaient fait venir.
Mais je
m’étais engagé dans un plan et rien ni personne ne pouvait désormais me faire
changer d’avis.
Après avoir
acheté mon billet d’avion je me suis rendu compte que, le plus que je puisse
emporter était mon ordinateur portable et une seule et unique valise. Il me
fallait tout faire tenir, ce qui veut dire cinquante ans de vie, dans une seule
et unique valise.
Comme la
grande majorité, j’en avais accumulé des choses durant ces années… des choses
dont je devais absolument me séparer pour vivre mon rêve d’une nouvelle vie. Le
problème, je ne savais même pas par où commencer.
Trois
semaines plus tard, je me suis retrouvé dans le salon de mon appartement
désormais vide.
À mes pieds le sac de mon ordinateur portable et une grande valise noire. Désormais tout ce que je possédais de matériel se trouvait dans cette grande valise noire.
Étonnement, le sentiment de savoir que je ne possédais plus rien, hormis ce qui tenait dans cette valise, eut un effet libérateur. C’était comme si le poids énorme que j’avais eu jusqu’à ce jour sur mes épaules s’était envolé. Magique, je me sentais tout à coup libéré.
Tout ce qui
m’avait appartenu avait été vendu, donné ou mis aux ordures.
Quelle quantité de choses inutiles, je m’en rendais compte maintenant, j’avais pu accumuler !
C’était ma deuxième étape et elle s’était passée plus simplement que je le pensais.
Mon billet
d’avion, ma valise avec le minimum… j’étais prêt à expérimenter une nouvelle
vie, une nouvelle vie aux Philippines où j’allais apprendre à vivre différemment.
Quelques
jours plus tard je disais au revoir à mes deux garçons et à mes parents avant
de monter dans l’avion qui me conduirait à Manille via Tokyo. Je dois préciser
que, mis à part mon court séjour aux Philippines et une sortie d’ivrogne au
Mexique, je n’avais jamais quitté les States.
Donc, en
matière d’immigration et de douane je n’y connaissais pas grand-chose, sauf ce
que j’avais pu lire ici et là. Heureusement, quand je suis arrivé à Manille, il
y avait là de nombreuses personnes qui souhaitaient m’aider pour un peu d’argent.
Je devais vraiment avoir l’air totalement perdu et stupide, car nombreux sont
ceux qui me proposaient leur aide.
J’ai
finalement franchi tous les obstacles, le dernier étant la douane et je me suis
retrouvé en dehors du bâtiment de l’aéroport, dans la chaleur humide et moite de
l’air Philippin.
Il était
convenu que je rencontre Sonia à l’extérieur, là où se trouvent les taxis,
l’accès au parking des véhicules particuliers et, précision supplémentaire, en
face du Duty Free shop. Malgré mon inexpérience, je n’avais guère de chances de
me perdre. Le Duty Free, je traverse et là, j’ai l’impression que des centaines
d’inconnus me dévisagent. Impression désagréable que je ressens au plus profond
de mon être. Mais peut-être était-ce la
fatigue qui me faisait réagir ainsi, vingt-trois heures que j’étais parti et
impossible de fermer l’œil du fait de l’excitation du voyage.
Finalement,
j’ai repéré Sonia. Je n’oublierai jamais l’expression de son visage quand elle
m’a vu pour la première fois dans toute la splendeur de mon mètre quatre-vingt-cinq
et de mes cent soixante kilos. Pendant quelques instants j’ai eu comme
l’impression qu’elle allait changer d’avis à mon sujet, mais rien ne se
matérialisa dans son regard qui demeurait fixé sur moi.
Quelques instants de
gêne bien vite dissipés et bientôt nous étions en train de parler, de rigoler
et nous avons même échangé un premier baiser.
Le lendemain
matin nous avons quitté Manille pour son appartement situé dans la province de
Cavite.
Vous dire que
j’ai subi un choc culturel lors de ce premier déplacement serait un euphémisme.
Les embouteillages, le bruit, la chaleur, cette foule, ces vendeurs à la sauvette qui montaient dans le bus…
Les embouteillages, le bruit, la chaleur, cette foule, ces vendeurs à la sauvette qui montaient dans le bus…
J’ai très
vite compris que les nombreux moyens de transport locaux n’étaient pas adaptés
à la corpulence d’une personne comme moi. J’étais le bon et doux Kano, coincé
sur un siège de bus, une sorte de Teddy- Bear qui tentait de faire contre
mauvaise fortune bon cœur en conservant un sourire figé sur son visage.
Le trafic
était terrible et anarchique, le bus n’avançait pas. De nombreux vendeurs
montaient et descendaient, proposant qui des bombons, qui des cacahuètes, de
l’eau minérale et des sodas glacés, des journaux et d’autres choses que je ne
connaissais pas.
Mais, une
fois sorti de Manille, le bus a pris de la vitesse et là, avec la manière dont
les gens conduisent ici, j’ai commencé à avoir peur. Mais Sonia m’a rassuré en
prenant ma main en sueur dans la sienne et en la conservant ainsi durant tout
le trajet.
Quand nous
sommes arrivés à son appartement, j’ai à nouveau eu un choc ; celui-ci
était de la taille de mon ancienne chambre à coucher, il y faisait
abominablement chaud et l’air y semblait collant.
Adaptation difficile pour l’Américain que j’étais, habitué à vivre en permanence en air conditionné.
Adaptation difficile pour l’Américain que j’étais, habitué à vivre en permanence en air conditionné.
Mais je ne me
suis jamais plaint, je vivais mon rêve et je m’étais préparé mentalement à ces
changements, sachant que tout serait différent.
Après
quelques semaines passées ensemble à Cavite, nous avons décidé de nous rendre à
Bacolod City afin que je rencontre sa famille et que je puisse officiellement
demander la main de Sonia à ses parents.
C’est en
arrivant à l’aéroport que j’ai su que quelque chose n’allait pas bien ;
j’étais malade. Durant le vol, qui a duré un peu plus d’une heure, je me
sentais de moins en moins bien. Heureusement diarrhée et vomissements n’ont pas
commencés avant que nous soyons arrivés à la ferme des parents de Sonia.
Là, j’ai eu
ma première véritable leçon sur ce qu’est la culture philippine. J’étais un
gros, pour ne pas dire plus, un vieil étranger suant, certainement puant, de
plus j’étais malade comme une bête et pourtant la famille de Sonia prenait soin
de moi comme si je faisais partie de la famille. Durant toute une journée, tout
ce que j’ai été capable de faire consistait à rester allongé, à transpirer à
gosses gouttes et à faire de nombreux allers et retours entre mon lit et les
toilettes. Ils n’ont même pas rigolé lorsque j’ai demandé où se trouvait le
papier toilette.
Un hôpital
privé dans lequel j’avais une chambre individuelle et dans laquelle est passée
une armée d’infirmières et de médecins tous plus gentils les uns que les
autres. À la différence des hôpitaux occidentaux, où l’on se sent plus client
que patient, aux Philippines le personnel hospitalier est aux petits soins pour
le malade. Chacun prend le temps de discuter avec vous et ils veulent tout
savoir. D’où vous venez, ce que vous faites aux Philippines, si vous avez des
enfants et lorsque j’ai dit que j’étais là pour épouser Sonia… comme une
traînée de poudre la nouvelle a fait le tour de l’hôpital et tout le personnel
a défilé dans la chambre afin de nous féliciter.
Une autre
grande différence, pour le Kano que je suis, est qu’il y a un lit d’appoint
dans les chambres. Un ou plusieurs membres de la famille peuvent ainsi rester
vingt-quatre heures sur vingt-quatre avec le patient. Sonia ne s’en est pas
privée, elle est restée avec moi les quatre jours qu’a durée mon hospitalisation.
Mais, durant le jour elle n’était pas seule, deux ou trois membres de sa
famille se trouvaient là en permanence et, avec les infirmières jamais pressées
de partir, je ne manquais pas de compagnie.
Après trois
jours sous perfusion et médicaments, j’ai eu droit à ma première crème glacée à
la mangue, un délice et il m’a été possible de m’alimenter normalement. Sonia
sortait deux fois par jour afin de m’acheter hamburger, pizzas et quelques
plats philippins, dont le minudo que j’ai grandement apprécié.
Au moment de
partir j’ai eu un grand choc, il me fallait payer la totalité des frais d’hospitalisation
avant d’être autorisé à sortir. Mais, quand j’ai pris connaissance du montant
qui m’était demandé, l’équivalent de quelques centaines de dollars, j’ai payé
avec un grand sourire. L’excellent niveau de soins que j’ai reçu vaut bien plus
que ce que j’ai payé.
Nous sommes
restés quelques jours dans la famille, le temps pour moi de reprendre quelques
forces et de goûter aux plats philippins, dont des soupes délicieuses.
Puis nous
sommes retournés à Cavite.
Quelques semaines plus tard nous étions mariés.
La cérémonie de mariage s’est faite en Tagalog, ce qui fait que Sonia traduisait au fur et à mesure, le Kano que j’étais alors ne parlant pas un mot de cette langue difficile.
Quelques semaines plus tard nous étions mariés.
La cérémonie de mariage s’est faite en Tagalog, ce qui fait que Sonia traduisait au fur et à mesure, le Kano que j’étais alors ne parlant pas un mot de cette langue difficile.
Nous avons
séjourné quelques mois à Cavite. J’avais trouvé un emploi de professeur
d’anglais dans un collège pour Coréens, où j’étais payé sept dollars de l’heure
et pour la première fois de ma vie je me
sentais pleinement heureux. Une vie simple, avec une femme que j’aimais
profondément et qui me le rendait bien et surtout une vie calme, sans pression,
sans stress.
Sonia est
alors tombée enceinte et nous avons décidé que nous devrions nous rapprocher de
la famille.
Quelques semaines après avoir pris cette décision, nous nous installions dans la ferme près de Bacolod City.
Quelques semaines après avoir pris cette décision, nous nous installions dans la ferme près de Bacolod City.
Durant ces
premiers mois d’expérience aux Philippines, j’ai appris quelques précieuses
leçons de vie.
La première est que l’on peut vivre heureux avec très peu de choses, à partir du moment où vous avez de quoi mettre quelque chose à manger sur la table. Ici beaucoup, que dis-je, énormément de riz.
La seconde est d’avoir sa famille avec soit et j’ai également découvert l’importance qu’il peut y avoir à prendre soin les uns des autres.
Comme j’ai dû
retourner en urgence aux États-Unis, pour un problème de santé antérieur à mon
arrivée sur l’archipel que j’avais négligé, j’ai raté la naissance et les
premières semaines de la vie de ma fille.
Si la séparation fût difficile, elle fût néanmoins un peu atténuée du fait que je savais que ma femme avait une famille qui allait s’occuper d’elle et du bébé.
Si la séparation fût difficile, elle fût néanmoins un peu atténuée du fait que je savais que ma femme avait une famille qui allait s’occuper d’elle et du bébé.
Quand je suis
revenu aux Philippines nous avons loué un petit appartement et acheté une
voiture.
La vie était parfois dure, Sonia et moi avons eu nos problèmes, comme la plupart des couples durant les premières années d'un mariage. Ces dernières années nous avons vécu dans différentes maisons, à la recherche de l’endroit idéal. Je dois avouer que nous avons traversé des moments difficiles, mais chaque jour notre amour grandissait et nous étions de plus en plus heureux. J’ai ainsi découvert qu’il n’était nullement besoin d’avoir plein de choses dans une maison pour vivre heureux. Tout ce dont on a besoin c’est d’un toit sur la tête, un peu de nourriture sur la table et beaucoup d’amour.
Nous vivons
une vie simple, tranquille et nous sommes pleinement heureux.
En quelques années je suis devenu un autre homme, un être beaucoup mieux dans sa peau, une personne différente et bonifiée. Je suis en meilleure santé, j’ai perdu soixante kilos, nous venons d’acheter une nouvelle voiture et après quelques tâtonnements sur l’internet, me voici de retour dans mon business.
Ma relation
avec Sonia est tout simplement incroyable, après ces années j’ai toujours
l’impression d’être en période de lune de miel.
Ma fille de
trois ans se porte comme un charme, mes deux grands garçons et mes parents sont
en bonne santé et la famille aux Philippines fait de bonnes affaires avec la
ferme.
Je suis
arrivé ici avec une seule valise, mais de nombreux bagages, des problèmes à la
fois émotionnels et physiques. J’ai brisé la coquille dans laquelle je m’étais
enfermé et maintenant, aux Philippines que j’appelle mon chez moi, je suis
heureux et je m’épanouis.
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