Tuesday, December 9, 2014

LA VÉRITÉ ... SI JE MENS !

Ne voyez dans le titre aucune allusion spéciale au film du réalisateur Thomas Gilou, pour une raison inconnue ce titre m’est venu à l’esprit… allez savoir pourquoi ?


Pour ceux qui auraient encore des illusions sur la reprise américaine ainsi que sur le nombre des sans emplois aux Etats-Unis.

Le faible gain constaté dans le PIB du pays s’explique uniquement par une injection massive de liquidité dans l’économie américaine. Ce qui veut dire qu’une partie du PIB est payé par le déficit, donc par de l’emprunt, ce qui en contrepartie augmente la dette. Sur dix dollars injectés (et donc empruntés), un seul va se retrouver dans l’économie réelle du pays.

D’autre part, en dix ans, environ un million d’emplois ont été créés, alors que plus de douze millions de personnes en âge de travailler sont arrivées sur le marché du travail durant cette même période ! Nombreux sont ceux qui ne recherchent plus un emploi et donc qui n’apparaissent plus dans les statistiques.

Les ‘’jobs’’ qui sont offerts concernent majoritairement des jobs sous-payés.
La constatation en est devenue tellement évidente que le Ministère du travail américain dévoile le résultat d’une enquête qui démontre que de nombreux travailleurs sont désormais payés en dessous du salaire minimum.
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2014/12/04/97002-20141204FILWWW00507-usa-centaines-de-milliers-de-salaries-payes-en-dessous-du-salaire-minimum.php

Le nombre d’Américains en situation de pauvreté est de 46, millions, soit 15 % de la population totale.
Le seuil de pauvreté pour une famille de quatre se situe à 23.000 USD par an.

Quatre Américains adultes sur cinq ont connu ou vont connaitre le sans emploi, la précarité, la pauvreté ou le manque de soins. Soixante -seize pour-cent (76 %) des Américains ‘’blancs’’ de plus de 60 font l’expérience d’une insécurité économique. Cinquante (50) millions d’Américains dépendent des ‘’food stamps’’ pour se nourrir. Mais les villes et États sont de plus en plus nombreux à être en faillite ou proche de la faillite…



N’ayez crainte, la chose a déjà commencé en France… certains voudraient que tous les salaires soient baissés de 30 % dans l’hexagone. Je vous rappelle qu’il s’agit là d’une exigence de Goldman Sachs dévoilée il y a de cela plus de trois ans maintenant. À cela s’ajoutait la demande d’une forte diminution des prestations sociales… ce que peuvent constater tous les jours ceux qui sont restés aux pays.

Coup de ‘’rabot’’ généralisé sur les allocations familiales !
Baisse des aides à la garde d’enfant,  partage du congé parental, baisse de la prime à la naissance,  allocations modulées selon les revenus, etc. Les prélèvements augmentent et les prestations diminuent.
Augmentation des mutuelles de cinq à dix pourcent, sans pour cela que vous soyez remboursé plus, mais moins cela pourrait se faire.

Diminution des exonérations des charges des travailleurs à domicile, hausses des cotisations à tous les niveaux, augmentation des impôts directs, des taxes (dont la TVA), créations de nouvelles taxes, etc.

Pour ceux qui ne le savent pas encore : mise en application de la taxe sur les abris de jardins !!!
Plus de cinq mètres carrés au sol et un mètre quatre-vingt sous plafond… vous allez raquer.
A quand une taxe sur la niche du toutou et sur la cage aux oiseaux? Ils sont devenus fous !

Comme l’état (avec un petit é) diminue les dotations aux collectivités locales, celles-ci vont se rabattre sur les impôts locaux. Vous allez déguster mes amis ! Habitation, foncier, bâti et non bâti s’il vous plait, les taxes sur les transactions  immobilières, sur les plus values, etc. toutes celles qui existent déjà, auxquelles il va vous falloir ajouter  toutes celles qu’ils vont créer…

Sur l’eau de pluie par exemple. En fonction du nombre de mètres carrés dont vous disposez, du fait que vous n’utilisez pas l’eau de la ville surfacturée, les collectivités, en fonction de la pluviométrie pourraient vous infliger une taxe au mètre cube, plus la TVA sur celle-ci pour faire bonne mesure.



Petite anecdote : au lieu d’une baisse de 0,6 % du tarif réglementé, les prix du gaz vont augmenter de 1,8 % le 1er janvier. Environ 7 millions de foyers sont concernés. Mais ‘’Sapin de Noël’’ vous a annoncé qu’il n’y aurait aucune hausse d’impôt. 

L’inflation constatée par les services officiels aurait été (sera) de 0,75 % en 2014 (vous l’avez très certainement constaté en faisant vos courses, les prix baissent c’est bien connu), donc attendez-vous à une diminution du taux de rémunération de votre livret A… le chouchou des Français, mais pour combien de temps encore ?

Diminution des salaires, augmentation des prélèvements de toutes sortes,  vous allez bientôt travailler gratos et être obligés de vivre sur ce que vous avez mis de côté ! Pour ceux qui en ont la possibilité tout du moins.
Ne riez pas, c’est ce qui se passe en Grèce !

 Car la finalité de l’histoire est de faire main basse sur le magot afin de renflouer les banques et en premier les banques américaines. Le magot c’est votre épargne, les centaines de milliards qui dorment sur des comptes ou qui sont placés ; livret A, PEA, PEL, assurances vie, etc. tout cet argent qui dort et qui ne circule pas.
Faire main basse dessus, vous spolier directement… un peu trop voyant, une partie peut-être, mais certainement pas la totalité, ce serait la révolution immédiate.

Mais en vous obligeant peu à peu à tirer sur ce magot, à le mettre en circulation afin qu’il vienne alimenter les multinationales, majoritairement américaines…. C’est faisable, c’est jouable et ils sont en train de vous la jouer, la marche funèbre.


D’un autre côté ils s’attaquent également à votre patrimoine immobilier ! Regardez bien dans les prochaines années ce qui va se passer avec vos impôts locaux. Ils ont compris que la pression fiscale directe avait ses limites et que ces limites sont aujourd’hui atteintes. Aussi, changement de fusil d’épaule, ils attaquent désormais le patrimoine immobilier avec les impôts et taxes locales. Cela a déjà commencé avec les immeubles non occupés et les terrains constructibles non bâtis. Dans certaines zones seulement me direz-vous. Oui, je vous l’accorde, mais attendez-vous à ce que ces zones s’étendent comme traînée de poudre dans les prochaines années.


Prédire l'avenir est une illusion, ce qui est important c'est le présent.

Il faut le découvrir, le comprendre et déconstruire maintenant ce que l'on voudrait nous imposer.
Rechercher qui tire et qui a intérêt à tirer les ficelles, pour le stopper dès aujourd'hui.
Demain, il sera trop tard.


Passés la cinquantaine, généralement aux alentours des 55 ans, les salariés sont le plus souvent jugés "has been". Trop chers, pas assez performant ils sont, au mieux, mis au placard, au pire, poussés dehors. Constat caricatural? Pas vraiment.

L'OCDE, dans un rapport publié en janvier dernier sur "Le vieillissement et les politiques de l'emploi en France", constate que moins d'un salarié français sur deux entre 55 et 64 ans a un emploi. Le "taux d'emploi" (nombre des personnes ayant un emploi sur la population totale) des 55-64 ans atteint seulement 45,9% en France, contre 48,4% dans l'Union européenne.


Et depuis le début de la crise, la situation n'a cessée de se dégrader pour les quinquas. Plus que dans n'importe quelle autre tranche d'âge, le taux de chômage progresse inexorablement. Depuis un an, il a augmenté de 11,5%. Aujourd'hui, il y a environ 1.100.000 demandeurs d'emplois de plus de 55 ans.
Jusqu'à présent, la France a en réalité été incapable de gérer le vieillissement de sa population active. 

Même si les possibilités de préretraite ont été réduites et les dispenses de recherches d'emplois progressivement supprimées, bon nombre de salariés partent encore à la retraite avant l'âge légal de 62 ans, l'âge effectif de départ étant de 59,7 ans
.
Le plus souvent, ce départ anticipé se fait faute d'avoir trouvé un nouvel emploi. Poussés vers la sortie, les seniors négocient leur départ et perçoivent une allocation chômage pendant trois ans sans avoir à rechercher un nouvel emploi.

Le travail des seniors : nouvelle priorité de Rebsamen
Le 23 juin, François Rebsamen, ministre du Travail, a annoncé qu'après avoir concentré ses efforts sur l'emploi des jeunes, l'emploi des seniors était sa nouvelle priorité.

Il propose notamment de s'attaquer au coût du travail des salariés les plus âgés qui, du fait de leur expérience professionnelle, ont des prétentions salariales plus importantes que leurs jeunes collègues.
Mais faute de moyens, le ministre du travail se contentera de proposer, lors de la "grande conférence sociale pour l'emploi" des 7 et 8 juillet avec les partenaires sociaux, d'augmenter la prime du contrat de génération en faveur de salariés en fin de carrière.

A l'heure actuelle les entreprises de moins de 300 salariés bénéficient d'une prime de 2000 euros par an pendant trois ans pour tout recrutement d'un jeune de moins de 26 ans en CDI en contrepartie du maintien de l'emploi d'un senior de plus de 57 ans pour lequel l'entreprise bénéficie d'une aide comparable, soit, au total, 4000 euros.


François Rebsamen propose que cette prime jeune et senior passe au total à 6000 euros (2000 + 4000), toujours conditionnée au recrutement d'un moins de 26 ans. L'objectif est de conserver 500.000 emplois seniors sur 5 ans et une stabilisation du chômage des plus de 50 ans d'ici 6 mois.

Mais les résultats sont plus qu'incertains alors que les contrats de génération sont loin d'atteindre leurs objectifs. Seulement 29.000 embauches ont été constatées depuis mars 2013 dans ce cadre alors que le gouvernement tablait sur 75.000.


Les jeunes et le chômage : la situation plus mauvaise que jamais

Des étudiants de l'université Paris III (Censier-Sorbonne Nouvelle), en 2009. 88% des diplômés du «supérieur long» (bac plus cinq et au-delà) de la génération 2010 ont un emploi au bout de trois ans.
Plus d'un jeune sur cinq est sans emploi, trois après avoir quitté l'école. Un taux de chômage qui n'a jamais été aussi haut, particulièrement chez les non-diplômés.

Trois ans après être sorti de formation, plus d’un jeune sur cinq (22%) est au chômage: jamais ce taux n’avait été aussi haut en France. La dernière enquête du Cereq (le Centre d’études et de recherches sur les qualifications), concernant l’insertion des 700 000 jeunes ayant quitté le système éducatif en 2010 – appelés «la Génération 2010» -, renvoie une image plutôt sombre des débuts des jeunes Français dans la vie active. Les diplômés s’en sortent toujours nettement mieux que les non diplômés, et cet écart s’est même creusé. Mais pour tous, à des degrés divers, le risque du chômage s’aggrave et l’insertion se détériore.

Deux faits économiques majeurs s’imposeront durant le XXIe siècle : d’une part, le retour des taux de croissance à leur étiage historique aux alentours de 1%. D’autre part, la généralisation de la robotisation qui devrait permettre de remplacer les travailleurs humains dans des secteurs d’activité jusque-là inaccessibles à l’automatisation.


La robotisation du monde du travail

Les soins à la personne sont la cible principale des premiers fabricants de robots humanoïdes comme le modèle Roméo de la société française Aldebaran, devenue japonaise depuis peu. Mais si porter un plateau à une personne dépendante est déjà possible à un robot, il y a tout lieu de penser que le service en salle dans certains restaurants sera aussi concerné. Ainsi, alors que l’automatisation a amélioré la productivité industrielle, les emplois de service seront le domaine de la robotisation.

Dans un autre secteur, les avantages de l’automobile robotisée, ou autonome, sont évidents : la sécurité routière fera un bond considérable et on pourra se déplacer en voiture sans savoir ou pouvoir conduire.
Selon Carlos Ghosn, le PDG de Renault-Nissan «les véhicules autonomes pourront être commercialisés en Europe à partir de 2020». La première génération ne se passera pas vraiment d’un conducteur, mais on peut penser que des véhicules totalement autonomes, comme la Google-car) sillonneront les routes françaises d’ici une dizaine d’années.

La conséquence probable de cette mise en circulation est que les chauffeurs salariés seront susceptibles d’être remplacés par une telle voiture en une à deux générations automobiles, c’est-à-dire entre quatre et huit ans. Tous les chauffeurs ne disparaîtront pas, car il y aura toujours des trajets qui nécessitent une interaction humaine, mais une bonne partie d’entre eux sera devenue moins nécessaire, sinon inutile, en quelques années.
Des métiers comme ceux de plombier ou de psychologue ne disparaîtront sans doute jamais, mais nos économies globalisées rendent la robotisation inéluctable pour un grand nombre d’activités. 

Cette globalisation nous impose d’ailleurs d’investir dès aujourd’hui, et puissamment, dans les technologies de la robotique. Sans cela, nous subirons une robotisation du travail délocalisée, nous serons incapables d’intégrer ses effets dans nos projets sociaux et politiques, et nous serons les canuts de demain.



Vers une société oisive ?

Grâce à la robotisation, la substitution du capital au travail peut devenir infinie. On peut imaginer une personne qui possède un capital composé d’une forêt, d’un bâtiment et de robots. Certains de ses robots couperaient des arbres qu’ils débiteraient en planches, tandis que d’autres en replanteraient, d’autres encore fabriqueraient des chaises en bois et les emballeraient, et c’est un véhicule autonome qui viendrait prendre livraison des commandes passées sur Internet. 

Dans ce cas, le capital seul suffirait à produire des biens directement. S’il n’est pas certain que cet exemple extrême existe un jour, il faut néanmoins s’attendre à ce que le développement de la robotisation augmente violemment les mécanismes de concentration de la richesse vers le patrimoine et réduise d’autant sa redistribution par le travail.

Les forts taux de croissance ne reviendront plus, et nos sociétés supportent mal 10% de chômeurs. Mais bientôt ce seront 30%, ou plus, des travailleurs d’aujourd’hui qui seront remplacés par des systèmes robotisés. Nos sociétés sont-elles préparées à supporter l’ingression de tels taux de chômage ?

Des solutions économiques viennent à l’esprit, comme la création de fiscalités qui délestent le travail humain de toutes formes de charges et taxent lourdement le capital productif afin d’obtenir un système alternatif de redistribution. Mais ces solutions soulèvent de nouvelles questions : comment généraliser de tels impôts sur la planète ? Au niveau d’un pays, qui paiera les rentes à ceux dont le travail est devenu inutile ? Une personne qui aura un emploi devra-t-elle gagner plus, et si oui, selon quelle logique ? Le travail devenu rare sera-t-il un privilège ?


Enfin, le travail est un facteur d’identité et d’intégration sociale irremplaçable pour la majorité d’entre nous. Une société basée sur l’oisiveté nous reste tout simplement inimaginable. Serons-nous néanmoins capables de l’inventer ? Que veulent dire les notions de progrès si nous faisons l’économie de cette réflexion ?

La robotisation qui arrive impose à nos sociétés de se repenser sans le travail comme norme. Si bien que la question à laquelle les partis politiques doivent répondre n’est plus «comment revenir à l’économie du plein-emploi», mais «comment se préparer à l’économie de l’emploi rare». Ne pas y répondre, ne pas développer une nouvelle idéologie autour du travail, c’est faire le choix de la misère la plus sombre pour nos enfants.

Donc j’attends de nos politiques qu’ils répondent dès aujourd’hui aux questions que nous sommes de plus en plus nombreux à nous poser. 

Comment envisager l’économie et le fonctionnement de notre société avec une croissance qui ne dépassera que rarement un pour cent par an et ce pendant les vingt prochaines années ? Comment résoudre les problèmes d’emploi en tablant sur le fait que ce sont bientôt trente pour cent de la population active qui sera sans emploi ?

En allongeant le temps de travail, en repoussant l’âge de départ à la retraite ?

Il faut qu’ils arrêtent tous de nous bourrer le mou avec des slogans à la ‘’Klong’’ du genre « La reprise est devant nous, je la vois pointer son nez, je sens la reprise elle est au bout du tournant, etc. ». Ou ceux du genre « l’inversion du chômage est pour demain ». Oui, demain on rase gratis.

Ouvrez grand les yeux, regardez l’état de l’économie mondiale, c’est une catastrophe ! Nous sommes arrivés au bout d’un cycle et, sauf miracle, sous forme d’une découverte qui amènerait une nouvelle révolution dans l’évolution de nos sociétés, il est grand temps de se mettre à penser comment gérer ce changement avec les données et les moyens qui sont aujourd’hui à notre disposition.


Il s’agit d’un bouleversement profond de notre société que nos dirigeants semble plutôt vouloir repousser qu’attaquer de front. 


Expériences, avis, critiques et commentaires, comme d’habitude sont les bienvenus.

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