Sunday, August 24, 2014

CINQ AUTRES ERREURS ... À NE PAS COMMETTRE !

Dans un billet daté du 7 juin 2013, il y a donc un peu plus d’un an de cela, je vous donnais les dix principales erreurs que faisaient, ou que pouvaient faire les candidats à l’expatriation aux philippines.


Je vous redonne ces dix principales erreurs ainsi que le lien, ici, pour retrouver le post ‘’Expatriation aux Philippines … les dix erreurs’’.

Ces dix premières erreurs étaient et sont toujours les suivantes.

1 –  Penser que vous allez pouvoir facilement trouver un emploi ici,
2 –  Penser que vous allez pouvoir acheter un terrain, ou que vous allez pouvoir contourner la loi pour le faire,
 3 –  Plonger et tomber un peu trop rapidement amoureux,
 4 –  Songer uniquement à ces vieilles et mêmes idées de business,
 5 –  Penser que bien sûr les choses vont être ici un peu différentes, mais pas plus que cela,
 6 –  Sous-estimer le coût de la vie,
 7 –  Avoir des attentes qui ne soient pas réalistes,
 8 –  S’inquiéter pour les visas,
 9 –  S’inquiéter pour les taux de change,
10 – Ne pas essayer d’apprendre, en partie tout du moins, ce qu’est la culture locale.


Suite à quelques discussions animées avec des amis qui vivent ici de longue date, j’ai décidé de vous donner cinq autres erreurs communément commises par les nouveaux arrivants ou par ceux qui souhaitent venir nous rejoindre.

Vous êtes de plus en plus nombreux à vouloir quitter la morosité ambiante de l’hexagone et les nouvelles que vous me faites parvenir ne laissent rien présager de bon pour le futur. La douce France de Charles Trenet semble se transformer en triste France de François Hollande.


Vous êtes même si nombreux à vouloir fuir le pays, que cela commence à sérieusement inquiéter notre ‘’classe dirigeante’’, « Nous sommes en train de perdre nos meilleurs esclaves », une phrase sibylline qui désormais se propage et fait des vagues dans les hautes sphères du pouvoir.

Quels nouveaux mensonges vont-ils pouvoir désormais inventer pour vous retenir à la maison ?

Je leur fais confiance, mentir, comme voter de nouveaux impôts, semblent être devenu les deux seules activités visibles de ces hommes et femmes au pouvoir. Il y a également les détournements de fonds, les prises illégales d’intérêts, les cumuls de mandats, les augmentations d’indemnités et d’avantages, les placements illégaux d’argent à l’étranger, etc.

La liste est si longue… Mais attention, pour eux, exclusivement pour eux, pas pour vous gens du peuple.

Si jamais il y a grande orientation à prendre, ne vous inquiétez pas, vous, le peuple, serez consulté par voie de référendum, nous disent-ils. « Petits bandits, vous n’avez pas bien suivi les consignes, donc nous allons voter le texte entre nous, entre gens qui savons et qui comprenons ce qui est bon pour vous… et surtout pour nous ».

Sans oublier que de plus en plus de décisions concernant nos vies de citoyens sont prises à Bruxelles, aux ordres de Washington et de plus par des gens qui ne sont pas élus. Très forts, ils sont très forts ces Américains ! Petite anecdote, les fonctionnaires de Bruxelles peuvent désormais prendre leurs retraites à 50 ans et avec des retraites, je ne vous dis que cela. Pour vous, gens du peuple, l’âge de cette même retraite devrait prochainement être porté à 65 ans, en attendant mieux.

Il n’y a plus de sous vous assènent-ils, plus de sous pour vous, mais pas pour eux.


Mais revenons aux cinq autres erreurs que vous faites ou que vous pourriez faire lorsque vous venez vous installer sur l’archipel du sourire.


                 1        -  Ne pas vouloir, ne pas pouvoir ou ne pas savoir accepter le changement

Le changement est inévitable dans la vie. Même si vous restez tranquillement installé dans votre petit pavillon de banlieue à relire des livres anciens, en regardant ce qui se passe autour de vous il vous sera facile de constater qu’il y a du changement.

Les vitrines des magasins ne sont plus éclairées la nuit ; seul un lampadaire sur deux, dans votre petite rue, donne encore une lueur blafarde ; il est désormais interdit de fumer dans les lieux publics ; les éboueurs ne passent plus que deux fois par semaine ; votre bureau de poste local a disparu, il vous faut désormais faire trois kilomètres pour trouver un bureau ouvert ; il faut vous y prendre pratiquement un an à l’avance pour passer une IRM, par contre l’augmentation de vos impôts, charges et taxes locales suit une courbe exponentielle.

Vos voisins sont partis, certains pour leur dernier voyage, d’autres pour la province, d’autres encore pour des  contrées plus lointaines. Ceux qui les ont remplacés, vous n’avez pas de contacts avec eux et pour cause, ils ne parlent pas le même langage. 

Et le centre-ville, quel changement, la moitié des commerces sont fermés. Votre boucher préféré, un ami de trente ans, a pris sa retraite ; la boucherie existe toujours, mais c’est désormais une boucherie halal. Les petits cafés, qui faisaient le charme des villes et des villages français, disparaissent les uns après les autres. Où et avec qui vont bien pouvoir parler ceux qui se retrouvent seuls ?


Nouvelles zones pavillonnaires, nouvelles cités dortoirs, nouvelles routes et autoroutes… sans âmes que tout cela. Nouvelles règles, réglementations, interdictions en tous genres, attention à votre langage, certains mots courants sont devenus des insultes et ne doivent plus être utilisés.
Et j’en passe et j’en passe.

Je comprends pourquoi vous avez l’intention de nous rejoindre au plus vite.

Donc, même dans cette France qui vous est familière, les choses bougent, les choses changent.

Le changement arrive, vous ne pouvez l’éviter, vous ne pouvez que le subir.
Imaginez maintenant, pour ceux qui ne sont pas encore partis, que vous avez décidé de tout quitter, de tout plaquer pour vous installer dans un pays étranger, disons les Philippines pour prendre un exemple.

Vous allez quitter vos racines pour vous installer dans un pays qui se trouve à l’autre bout de la planète, dans un monde dont la culture vous est totalement étrangère, dans une société dont vous ne connaissez ni les us ni les coutumes, avec des gens, dont au départ vous ne connaissez rien, ou presque rien. 

Oui, la majorité d’entre eux parle l’anglais, oui ils peuvent manger dans des fast-foods dont les noms vous sont familiers, oui ils portent des jeans et des tee-shirts, oui ils ont des téléphones portables, des Ipads, des tablettes et des Iphones, oui ils ont de belles voitures, qui de plus roulent à droite, oui… ils font tout comme nous et pourtant pas comme nous.

En fait c’est pratiquement toute votre vie qui va se trouver changée quand vous allez arriver aux Philippines. Même ce qui peut vous sembler être ‘’presque la même chose’’, va en fait être très différent de ce que vous avez imaginé au premier abord. 



Aussi tout ce qui va faire la différence entre une expatriation réussie et une expatriation qui ne le serait pas, va être la façon avec laquelle vous allez négocier et vous adapter à ce changement. De plus ce changement va être brutal, il ne va pas se faire progressivement comme celui que vous avez connu dans votre pays d’origine.

Pouvez-vous accepter le changement ou allez-vous batailler à chaque instant ?
Si vous êtes comme la majorité des étrangers qui vivent ici, je faisais partie de cette majorité au début de mon expatriation, vous allez combattre, ou tout du moins vous allez tenter de combattre ce changement. Vous allez en arriver au point de vous dire que les Philippins doivent changer, qu’ils ne font pas les choses comme elles devraient être faites, qu’ils ne font pas les choses comme vous les feriez et donc qu’ils doivent changer leur façon de faire.

Vous aurez le sentiment que c’est aux Philippins de changer leurs façons de faire, de penser et de se comporter et non pas à vous d’essayer de comprendre le comment et le pourquoi de ce qu’ils font et de comment ils le font. Si vous êtes suffisamment intelligent, avant que ce sentiment ne devienne trop fort et prenne le dessus sur tout ce que vous faites et pensez, vous allez rapidement réaliser que plus de cent millions de Philippins ne vont pas changer leurs façons de faire les choses et de penser, uniquement pour vous faire plaisir.

Vous aurez alors le choix, vous adapter, ou tout du moins vous ajuster à leurs façons de voir, de faire et de penser, ou alors retournez d’où vous venez, dans un endroit où vous vous sentirez à l’aise pour vivre votre vie.

Et ceci est valable pour tout pays du monde autre que celui dans lequel vous avez vécu jusqu’à ce jour. Je ne vous dis pas de devenir cent pourcent philippin, mais de vous ajuster un minimum au changement, votre vie n’en sera que facilitée. Quand je dis changement, pour certains ce pourra être un véritable bouleversement.


De plus, les gens d’ici qui vous verront faire des efforts afin d’essayer de vous adapter, vous accepteront plus facilement, nombre d’entre eux feront même en sorte de vous aider dans vos efforts d’adaptation.


        2   –   Ne rechercher tout le temps que la compagnie d’étrangers 

C’est un sujet un peu délicat, mais il est important d’en parler. La majorité des étrangers qui arrivent ici recherchent le contact avec d’autres étrangers, si possible avec d’autres étrangers qui parlent la même langue. Ce qui dans un sens est très compréhensible, la barrière de la langue étant un sérieux handicap pour nombre de nos concitoyens. Particulièrement pour ceux qui ne maîtrisent pas ou mal la langue de Shakespeare.

Je connais quelqu’un qui, arrivé depuis quelques mois, disons plus de trois maintenant, s’est donné pour but de découvrir le pays de l’intérieur. Non pas comme un touriste, mais comme une personne qui a fermement l’intention de se fixer définitivement sur l’archipel.

Il regarde, il observe, il essaye de comprendre, mais sans jamais critiquer, sans jamais faire de remontrances, il reste d’un calme olympien quoi qu’il puisse arriver.

Il s’efforce d’être aussi proche que possible des populations locales et pour cela il marche, prend des tricycles, des jeepneys ou des bus pour les déplacements plus longs. Il mange local, il boit local, fait de petits stops dans les Sari-sari pour y déguste une bière bien fraiche, dans une eaterie au bord de la route pour manger un ou deux plats du cru. Il parle avec les gens, s’essaye à quelques mots de Tagalog ou du langage local. 

Il n’a pas encore bien assimilé la différence entre les deux, mais il fait l’effort d’essayer et les Philippins qu’il rencontre lui en sont gré. Dans la mesure du possible, il évite de se retrouver dans les endroits fréquentés par les ‘’Kanos’’ et pour cela il a choisi de louer une petite villa en dehors de la ville, un petit coin tranquille, mais néanmoins en bord de mer.


Avoir quelques amis, ou tout du moins des connaissances Philippines, est un excellent début. Ce sont certainement ceux qui vont pouvoir vous aider le plus dans cette période d’adaptation qui va suivre votre arrivée au pays des 7.107 îles.

Il n’y a aucun mal à avoir des amis et relations qui soient de votre pays, ou d’un autre pays étranger, aucun mal du tout. Mais vous devez également essayer d’avoir des contacts avec vos voisins et autres locaux que vous pouvez rencontrer ici et là, vous ne savez pas, mais il se pourrait que vous en rencontriez qui aient une grande influence sur votre vie future.


3                         3     -  Ne pas essayer d’apprendre quelques mots du langage local     

C’est un sujet que j’ai abordé à de nombreuses reprises, mais le fait d’apprendre, ne serais-ce que quelques mots et phrases courantes du langage local, va grandement vous changer et surtout vous faciliter la vie.

Il n’est pas question, sauf à le vouloir, de devenir parfaitement bilingue, mais plutôt d’apprendre les phrases les plus communes. Vous allez alors découvrir que les gens vont devenir beaucoup plus amicaux et vous accepteront beaucoup plus facilement, si vous faites l’effort de parler quelques mots de leur langage.

Attention qu’il existe de nombreux dialectes et sous dialectes en plus des langues, choisissez bien. Ou alors optez pour le Tagalog si vous résidez sur Luzon ou le Cebuano / Bisaya si vous demeurez dans les Visayas ou sur Mindanao.


          4     – Se résigner trop rapidement

Vous allez certainement vous demander ce que je veux dire par là.


Tout simplement que je trouve que certains d’entre vous ne laisse pas assez au temps de prendre son temps. S’adapter, ou plutôt comme j’aime à le dire, s’ajuster à la vie aux Philippines n’est pas une chose aisée. C’est une difficile transition qu’il va vous falloir effectuer. Donc laissez du temps au temps, de plus s’agissant du temps philippin…

Trop souvent, après un séjour sur place relativement court, disons un an pour prendre un exemple, il y en a parmi vous qui se disent, je n’y arriverais jamais, je repars d’où je viens, je ne peux pas, je n’en peux plus, c’est trop dur pour moi.

C’est dur pour tout le monde, ne vous faites pas d’illusions ! Nous avons tous eu des périodes difficiles, des périodes durant lesquelles nous nous sommes dit, mais que suis-je venu faire dans cette galère ?

Je pense que dès le départ il faut se fixer une durée de séjour sur la base de, par exemple :
« Quoi qu’il puisse arriver, je me fixe dès maintenant un but, rester un minimum de trois ou quatre ans et je prendrai ma décision finale au bout de ce laps de temps. »

Ne faites surtout pas l’erreur, comme certains, de repartir à la moindre contrariété ou après une courte période d’abattement ou de nostalgie. Vous prendrez ainsi votre décision finale en connaissance de cause. 


         5      – Se précipiter pour acheter ou pour faire construire

Je connais des personnes, principalement des Américains, qui font construire ici, avant même que d’avoir visité une seule fois le pays, avant que d’avoir mis le pied sur l’archipel.

C’est un sujet que j’ai abordé à plusieurs reprises.  

Comment peut- on faire construire et s’installer dans un endroit que l’on ne connaît pas, de plus dans un pays que l’on n’a jamais visité ? Pas étonnant que l’on trouve de superbes propriétés isolées à vendre, souvent pour une bouchée de pain.




Comme vous l’avez sûrement constaté, je n’ai été présent sur la toile que par rares intermittences ces derniers quarante jours. La faute au typhon qui nous est passé dessus le 15 août dernier.

Si nos fournisseurs nous ont bien remis l’Internet dans les quinze jours qui ont suivi le passage de Glenda, le signal reçu était très faible. En fait mes antennes, tombées sous les rafales, étaient endommagées et il nous a fallu faire procéder au changement de ces dernières.

J’ai opté pour un système sans antennes extérieures et j’ai le plaisir de vous confirmer que je suis à nouveau opérationnel  à cent pour cent.   



Expériences, avis, critiques et commentaires, comme d’habitude sont les bienvenus.

Chaque jeudi de 18 à 20 h, 12 à 14 h  en Europe sur Yahoo Messenger :
Pseudo < dtesteil >

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4 comments:

Anonymous said...

Salut,

6eme et probablement le dernier sejour aux philippines pour moi.

je trouve le temps long, et je n ai qu une hate: retourner chez moi.pour info voila quelques contrarietes rencontrees :

-par rapport a mes 1ers sejours en 2006, les prix ont grimpe , les fabuleux terrains pour construire mon resort sont desormais la proprietes d allemands ou autres europeens qui ont eu les moyens avant moi et qui ont mis en places de belles structures, les rares terrains restants ont vu leur prix multiplie par 2-3...

-la nourriture, trop cuite, son manque de saveur et de variete (chez tous les philippins rencontres) m insupporte.

la mentalite de ma famille philippine m exaspere : super maison avec mon pognon au milieu des taudis des autres, lechon fiesta pour la moitie du barangay pour faire les nababs toujours avec mes sous...

manque de curiosite de la part des philippins que je connais:on fait les choses pour se montrer, jamais pour decouvrir ou apprecier.

et je ne parle pas de la surpopulation dans les villes, de la manie qu ont les gens de vous appeler "sir" qui ne sone pas tres honnete...

en fait, les rares personnes que j apprecie sont quelques simples pecheurs 100% insulaires qui n ont jamais bouge.

bonne continuation a ceux qui s adaptent !

vivement le retour dans ce pays en declin qu est la france mais qui n est pas aussi pourri quon le dit

Domy Testeil said...

A la lecture de votre commentaire j'ai bien l'impression que vous avez accumulé un maximum d'erreurs durant votre séjour ! Premièrement, faire construire et je présume très rapidement après votre arrivée, ceci étant la première erreur. Seconde erreur, à ce que j'ai pu comprendre, construction non loin, voire à proximité de la famille de votre épouse (lire ou relire à ce sujet ''La famille de ma femme !'').
Vous vous plaignez de la cuisine philippine... nous disposons de tous les ingrédients, ou presque, afin de cuisiner maison, donc ceci est un faux problème. Sauf a habiter au fin fond d'une province, à des heures de route d'un Centre Commercial digne de ce nom, il est possible de se ravitailler en produits permettant de réaliser d'excellents plats.
Charcuterie et fromages se trouvent maintenant un peu partout, sur pratiquement l'ensemble du territoire, toujours à la condition de se trouver à une distance raisonnable d'une grande ville. Et même, à la limite, pourquoi ne pas faire un ravitaillement charcuterie trois ou quatre fois par an dans une de ces boutiques spécialisées, comme Sentis par exemple. Mais il en fleurit chaque jour un peu plus de ces magasins spécialisés.
Il y a également la possibilité de se faire envoyer de France, disons une fois par an, un ou deux cartons Balikbayan rempli de conserves de France ; l'on trouve encore de très bonnes conserves en France.
Dernier point sur lequel vous attirez mon attention, vous trouvez que tout devient cher sur l'archipel.
Plus particulièrement les terrains pour construire un resort. Les Allemands et autres étrangers sont passés par là, les prix ont grimpé. Mais les prix grimpent partout, dans le monde entier... maintenant, essayez d'acheter un terrain avec vue sur la mer et accès à une plage sur le pourtour méditerranéen ! Petit exemple, Cavalaire (83), 648 m2, 1 km de la mer, 2,5 km du centre-ville... € 445.000 ! Ce qui nous fait pas loin de € 687 au mètre carré tout de même, ce qui traduit en Pesos philippins nous donne pas loin de 40.000 ! Collioure (66), 1 km du village, 2.000 m2 pour € 740.000, € 340 du mètre carré... tout de même.
Pour ce qui est des terrains sur les îles françaises, en bord de plage... je vous laisse deviner.

Anonymous said...

Bonjour,

Merci pour votre avis.
je ne blame personne, j ai juste expose les chose qui me contrarient ici.

la maison en question est celle de la famile de ma femme que j ai renfloue: je trouve qu ils l ont renovee ave trop de zele par rapport au voisinage, des modification plus modestes et tout aussi confortables auraient fait parfaitement l affaire et auraient evite que cette maison detone par rapport au voisinage.

pour la nourriture, ce n est pas la, nourriture europeene qui me manque mais de voir comme les fabuleux produits d ici sont utilises, je crois que je vais me mettre a les cuisiner moi meme.
exemple : je laisse un budget pour la bouffe, en expliquant ce que j aime: la cuisine ne corespond jamais a ce que j attend , je suis oblige d aller m acheter mes bananes et mes ananas moi meme...
l autre jour je trouve un poisson bon, je leur dis, ensuite ils mont prepare cette recette tous les jours jusqua ce que je leur dise que je voudrais autre chose...

bon , il y a des choses plus graves dans la vie

aujourdhui, j ai passe une bonne journee a la peche et a nager.

la section la famille de ma femme, correspond bien a ce que j ai pu rencontrer.
merci pour le blog et le partage de votre experience

Domy Testeil said...

Loin de moi la volonté de vouloir critiquer. C'est difficile et ceci pour tous les étrangers qui viennent s'installer sur l'archipel.
La longue et difficile période d'adaptation ! Après dix-huit ans j'en arrive parfois à encore m'ajuster. Comme j'aime à le dire "laissons au temps le temps de prendre son temps", de plus s'agissant du temps philippin...
La pêche, excellent dérivatif et l'on trouve désormais tous les matériels. Ong Ping Street in Quiapo, un Chinois sérieux ; Shimano, Pen, Daïwa, Mitchell, Rapala, etc.