Ne voyez dans le titre aucune allusion spéciale
au film du réalisateur Thomas Gilou, pour une raison inconnue ce titre m’est
venu à l’esprit… allez savoir pourquoi ?
Pour ceux qui auraient encore des illusions sur la reprise américaine ainsi que sur le nombre des sans emplois aux Etats-Unis.
Le faible gain constaté dans le PIB du pays s’explique uniquement par une injection massive de liquidité dans l’économie américaine. Ce qui veut dire qu’une partie du PIB est payé par le déficit, donc par de l’emprunt, ce qui en contrepartie augmente la dette. Sur dix dollars injectés (et donc empruntés), un seul va se retrouver dans l’économie réelle du pays.
D’autre part, en dix ans, environ un million
d’emplois ont été créés, alors que plus de douze millions de personnes en âge
de travailler sont arrivées sur le marché du travail durant cette même période !
Nombreux sont ceux qui ne recherchent plus un emploi et donc qui n’apparaissent
plus dans les statistiques.
Les ‘’jobs’’ qui sont offerts concernent
majoritairement des jobs sous-payés.
La constatation en est devenue tellement évidente que le Ministère du travail américain dévoile le résultat d’une enquête qui démontre que de nombreux travailleurs sont désormais payés en dessous du salaire minimum.
La constatation en est devenue tellement évidente que le Ministère du travail américain dévoile le résultat d’une enquête qui démontre que de nombreux travailleurs sont désormais payés en dessous du salaire minimum.
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2014/12/04/97002-20141204FILWWW00507-usa-centaines-de-milliers-de-salaries-payes-en-dessous-du-salaire-minimum.php
Le nombre d’Américains en situation de pauvreté est de 46, millions, soit 15 % de la population totale.
Le seuil de pauvreté pour une famille de quatre se situe à 23.000 USD par an.
Le nombre d’Américains en situation de pauvreté est de 46, millions, soit 15 % de la population totale.
Le seuil de pauvreté pour une famille de quatre se situe à 23.000 USD par an.
Quatre Américains adultes sur cinq ont connu ou vont connaitre le sans emploi, la précarité, la pauvreté ou le manque de soins. Soixante -seize pour-cent (76 %) des Américains ‘’blancs’’ de plus de 60 font l’expérience d’une insécurité économique. Cinquante (50) millions d’Américains dépendent des ‘’food stamps’’ pour se nourrir. Mais les villes et États sont de plus en plus nombreux à être en faillite ou proche de la faillite…
N’ayez crainte, la chose a déjà commencé en
France… certains voudraient que tous les salaires soient baissés de 30 % dans
l’hexagone. Je vous rappelle qu’il s’agit là d’une exigence de Goldman Sachs
dévoilée il y a de cela plus de trois ans maintenant. À cela s’ajoutait la
demande d’une forte diminution des prestations sociales… ce que peuvent constater
tous les jours ceux qui sont restés aux pays.
Coup de ‘’rabot’’ généralisé sur les
allocations familiales !
Baisse des aides à la garde d’enfant, partage du congé parental, baisse de la prime à la naissance, allocations modulées selon les revenus, etc. Les prélèvements augmentent et les prestations diminuent.
Augmentation des mutuelles de cinq à dix pourcent, sans pour cela que vous soyez remboursé plus, mais moins cela pourrait se faire.
Baisse des aides à la garde d’enfant, partage du congé parental, baisse de la prime à la naissance, allocations modulées selon les revenus, etc. Les prélèvements augmentent et les prestations diminuent.
Augmentation des mutuelles de cinq à dix pourcent, sans pour cela que vous soyez remboursé plus, mais moins cela pourrait se faire.
Diminution des exonérations des charges des
travailleurs à domicile, hausses des cotisations à tous les niveaux, augmentation
des impôts directs, des taxes (dont la TVA), créations de nouvelles taxes, etc.
Pour ceux qui ne le savent pas encore : mise en application de la taxe sur les abris de jardins !!!
Plus de cinq mètres carrés au sol et un mètre quatre-vingt sous plafond… vous allez raquer.
A quand une taxe sur la niche du toutou et sur la cage aux oiseaux? Ils sont devenus fous !
Pour ceux qui ne le savent pas encore : mise en application de la taxe sur les abris de jardins !!!
Plus de cinq mètres carrés au sol et un mètre quatre-vingt sous plafond… vous allez raquer.
A quand une taxe sur la niche du toutou et sur la cage aux oiseaux? Ils sont devenus fous !
Comme l’état (avec un petit é) diminue les
dotations aux collectivités locales, celles-ci vont se rabattre sur les impôts
locaux. Vous allez déguster mes amis ! Habitation, foncier, bâti et non
bâti s’il vous plait, les taxes sur les transactions immobilières, sur les plus values, etc. toutes
celles qui existent déjà, auxquelles il va vous falloir ajouter toutes celles qu’ils vont créer…
Sur l’eau de pluie par exemple. En fonction du nombre de mètres carrés dont vous disposez, du fait que vous n’utilisez pas l’eau de la ville surfacturée, les collectivités, en fonction de la pluviométrie pourraient vous infliger une taxe au mètre cube, plus la TVA sur celle-ci pour faire bonne mesure.
Sur l’eau de pluie par exemple. En fonction du nombre de mètres carrés dont vous disposez, du fait que vous n’utilisez pas l’eau de la ville surfacturée, les collectivités, en fonction de la pluviométrie pourraient vous infliger une taxe au mètre cube, plus la TVA sur celle-ci pour faire bonne mesure.
Petite anecdote : au lieu d’une baisse de
0,6 % du tarif réglementé, les prix du gaz vont augmenter de 1,8 % le 1er
janvier. Environ 7 millions de foyers sont concernés. Mais ‘’Sapin de Noël’’
vous a annoncé qu’il n’y aurait aucune hausse d’impôt.
L’inflation constatée
par les services officiels aurait été (sera) de 0,75 % en 2014 (vous l’avez très
certainement constaté en faisant vos courses, les prix baissent c’est bien connu),
donc attendez-vous à une diminution du taux de rémunération de votre livret A…
le chouchou des Français, mais pour combien de temps encore ?
Diminution des salaires, augmentation des
prélèvements de toutes sortes, vous
allez bientôt travailler gratos et être obligés de vivre sur ce que vous
avez mis de côté ! Pour ceux qui en ont la possibilité tout du moins.
Ne riez pas, c’est ce qui se passe en
Grèce !
Car la
finalité de l’histoire est de faire main basse sur le magot afin de renflouer
les banques et en premier les banques américaines. Le magot c’est votre
épargne, les centaines de milliards qui dorment sur des comptes ou qui sont
placés ; livret A, PEA, PEL, assurances vie, etc. tout cet argent qui dort
et qui ne circule pas.
Faire main basse dessus, vous spolier directement… un peu trop voyant, une partie peut-être, mais certainement pas la totalité, ce serait la révolution immédiate.
Faire main basse dessus, vous spolier directement… un peu trop voyant, une partie peut-être, mais certainement pas la totalité, ce serait la révolution immédiate.
Mais en vous obligeant peu à peu à tirer sur
ce magot, à le mettre en circulation afin qu’il vienne alimenter les
multinationales, majoritairement américaines…. C’est faisable, c’est jouable et
ils sont en train de vous la jouer, la marche funèbre.
D’un autre côté ils s’attaquent également à
votre patrimoine immobilier ! Regardez bien dans les prochaines années ce
qui va se passer avec vos impôts locaux. Ils ont compris que la pression
fiscale directe avait ses limites et que ces limites sont aujourd’hui
atteintes. Aussi, changement de fusil d’épaule, ils attaquent désormais le
patrimoine immobilier avec les impôts et taxes locales. Cela a déjà commencé
avec les immeubles non occupés et les terrains constructibles non bâtis. Dans
certaines zones seulement me direz-vous. Oui, je vous l’accorde, mais
attendez-vous à ce que ces zones s’étendent comme traînée de poudre dans les
prochaines années.
Prédire l'avenir est une illusion, ce qui est
important c'est le présent.
Il faut le découvrir, le comprendre et déconstruire maintenant ce que l'on voudrait nous imposer.
Rechercher qui tire et qui a intérêt à tirer les ficelles, pour le stopper dès aujourd'hui.
Demain, il sera trop tard.
Passés la cinquantaine, généralement aux alentours
des 55 ans, les salariés sont le plus souvent jugés "has been". Trop
chers, pas assez performant ils sont, au mieux, mis au placard, au pire,
poussés dehors. Constat caricatural? Pas vraiment.
L'OCDE, dans un rapport publié en janvier
dernier sur "Le vieillissement et les politiques de l'emploi en
France", constate que moins d'un salarié français sur deux entre 55 et 64
ans a un emploi. Le "taux d'emploi" (nombre des personnes ayant un
emploi sur la population totale) des 55-64 ans atteint seulement 45,9% en
France, contre 48,4% dans l'Union européenne.
Et depuis le début de la crise, la situation
n'a cessée de se dégrader pour les quinquas. Plus que dans n'importe quelle
autre tranche d'âge, le taux de chômage progresse inexorablement. Depuis un an,
il a augmenté de 11,5%. Aujourd'hui, il y a environ 1.100.000 demandeurs
d'emplois de plus de 55 ans.
Jusqu'à présent, la France a en réalité été
incapable de gérer le vieillissement de sa population active.
Même si les
possibilités de préretraite ont été réduites et les dispenses de recherches
d'emplois progressivement supprimées, bon nombre de salariés partent encore à
la retraite avant l'âge légal de 62 ans, l'âge effectif de départ étant de 59,7
ans
.
Le plus souvent, ce départ anticipé se fait
faute d'avoir trouvé un nouvel emploi. Poussés vers la sortie, les seniors
négocient leur départ et perçoivent une allocation chômage pendant trois ans
sans avoir à rechercher un nouvel emploi.
Le travail des seniors : nouvelle priorité de
Rebsamen
Le 23 juin, François Rebsamen, ministre du
Travail, a annoncé qu'après avoir concentré ses efforts sur l'emploi des
jeunes, l'emploi des seniors était sa nouvelle priorité.
Il propose notamment de s'attaquer au coût du
travail des salariés les plus âgés qui, du fait de leur expérience
professionnelle, ont des prétentions salariales plus importantes que leurs
jeunes collègues.
Mais faute de moyens, le ministre du travail
se contentera de proposer, lors de la "grande conférence sociale pour
l'emploi" des 7 et 8 juillet avec les partenaires sociaux, d'augmenter la
prime du contrat de génération en faveur de salariés en fin de carrière.
A l'heure actuelle les entreprises de moins de
300 salariés bénéficient d'une prime de 2000 euros par an pendant trois ans
pour tout recrutement d'un jeune de moins de 26 ans en CDI en contrepartie du
maintien de l'emploi d'un senior de plus de 57 ans pour lequel l'entreprise
bénéficie d'une aide comparable, soit, au total, 4000 euros.
François Rebsamen propose que cette prime
jeune et senior passe au total à 6000 euros (2000 + 4000), toujours
conditionnée au recrutement d'un moins de 26 ans. L'objectif est de conserver
500.000 emplois seniors sur 5 ans et une stabilisation du chômage des plus de
50 ans d'ici 6 mois.
Mais les résultats sont plus qu'incertains
alors que les contrats de génération sont loin d'atteindre leurs objectifs.
Seulement 29.000 embauches ont été constatées depuis mars 2013 dans ce cadre
alors que le gouvernement tablait sur 75.000.
Les jeunes et le chômage : la situation plus mauvaise que jamais
Des étudiants de l'université Paris III
(Censier-Sorbonne Nouvelle), en 2009. 88% des diplômés du «supérieur long» (bac
plus cinq et au-delà) de la génération 2010 ont un emploi au bout de trois ans.
Plus d'un jeune sur cinq est sans emploi,
trois après avoir quitté l'école. Un taux de chômage qui n'a jamais été aussi
haut, particulièrement chez les non-diplômés.
Trois ans après être sorti de formation, plus
d’un jeune sur cinq (22%) est au chômage: jamais ce taux n’avait été aussi haut
en France. La dernière enquête du Cereq (le Centre d’études et de recherches
sur les qualifications), concernant l’insertion des 700 000 jeunes ayant quitté
le système éducatif en 2010 – appelés «la Génération 2010» -, renvoie une image
plutôt sombre des débuts des jeunes Français dans la vie active. Les diplômés
s’en sortent toujours nettement mieux que les non diplômés, et cet écart s’est
même creusé. Mais pour tous, à des degrés divers, le risque du chômage
s’aggrave et l’insertion se détériore.
Deux faits économiques majeurs s’imposeront
durant le XXIe siècle : d’une part, le retour des taux de croissance à leur
étiage historique aux alentours de 1%. D’autre part, la généralisation de la
robotisation qui devrait permettre de remplacer les travailleurs humains dans
des secteurs d’activité jusque-là inaccessibles à l’automatisation.
La
robotisation du monde du travail
Les soins à la personne sont la cible
principale des premiers fabricants de robots humanoïdes comme le modèle Roméo de
la société française Aldebaran, devenue japonaise depuis peu. Mais si porter un
plateau à une personne dépendante est déjà possible à un robot, il y a tout
lieu de penser que le service en salle dans certains restaurants sera aussi
concerné. Ainsi, alors que l’automatisation a amélioré la productivité
industrielle, les emplois de service seront le domaine de la robotisation.
Dans un autre secteur, les avantages de
l’automobile robotisée, ou autonome, sont évidents : la sécurité routière fera
un bond considérable et on pourra se déplacer en voiture sans savoir ou pouvoir
conduire.
Selon Carlos Ghosn, le PDG de Renault-Nissan
«les véhicules autonomes pourront être commercialisés en Europe à partir de
2020». La première génération ne se passera pas vraiment d’un conducteur, mais
on peut penser que des véhicules totalement autonomes, comme la Google-car)
sillonneront les routes françaises d’ici une dizaine d’années.
La conséquence probable de cette mise en
circulation est que les chauffeurs salariés seront susceptibles d’être
remplacés par une telle voiture en une à deux générations automobiles,
c’est-à-dire entre quatre et huit ans. Tous les chauffeurs ne disparaîtront
pas, car il y aura toujours des trajets qui nécessitent une interaction
humaine, mais une bonne partie d’entre eux sera devenue moins nécessaire, sinon
inutile, en quelques années.
Des métiers comme ceux de plombier ou de
psychologue ne disparaîtront sans doute jamais, mais nos économies globalisées
rendent la robotisation inéluctable pour un grand nombre d’activités.
Cette
globalisation nous impose d’ailleurs d’investir dès aujourd’hui, et
puissamment, dans les technologies de la robotique. Sans cela, nous subirons
une robotisation du travail délocalisée, nous serons incapables d’intégrer ses
effets dans nos projets sociaux et politiques, et nous serons les canuts de
demain.
Vers une société oisive ?
Grâce à la robotisation, la substitution du
capital au travail peut devenir infinie. On peut imaginer une personne qui
possède un capital composé d’une forêt, d’un bâtiment et de robots. Certains de
ses robots couperaient des arbres qu’ils débiteraient en planches, tandis que
d’autres en replanteraient, d’autres encore fabriqueraient des chaises en bois
et les emballeraient, et c’est un véhicule autonome qui viendrait prendre
livraison des commandes passées sur Internet.
Dans ce cas, le capital seul
suffirait à produire des biens directement. S’il n’est pas certain que cet
exemple extrême existe un jour, il faut néanmoins s’attendre à ce que le développement
de la robotisation augmente violemment les mécanismes de concentration de la
richesse vers le patrimoine et réduise d’autant sa redistribution par le
travail.
Les forts taux de croissance ne reviendront
plus, et nos sociétés supportent mal 10% de chômeurs. Mais bientôt ce seront
30%, ou plus, des travailleurs d’aujourd’hui qui seront remplacés par des
systèmes robotisés. Nos sociétés sont-elles préparées à supporter l’ingression
de tels taux de chômage ?
Des solutions économiques viennent à l’esprit,
comme la création de fiscalités qui délestent le travail humain de toutes
formes de charges et taxent lourdement le capital productif afin d’obtenir un
système alternatif de redistribution. Mais ces solutions soulèvent de nouvelles
questions : comment généraliser de tels impôts sur la planète ? Au niveau d’un
pays, qui paiera les rentes à ceux dont le travail est devenu inutile ? Une
personne qui aura un emploi devra-t-elle gagner plus, et si oui, selon quelle
logique ? Le travail devenu rare sera-t-il un privilège ?
Enfin, le travail est un facteur d’identité et
d’intégration sociale irremplaçable pour la majorité d’entre nous. Une société
basée sur l’oisiveté nous reste tout simplement inimaginable. Serons-nous
néanmoins capables de l’inventer ? Que veulent dire les notions de progrès si
nous faisons l’économie de cette réflexion ?
La robotisation qui arrive impose à nos
sociétés de se repenser sans le travail comme norme. Si bien que la question à
laquelle les partis politiques doivent répondre n’est plus «comment revenir à
l’économie du plein-emploi», mais «comment se préparer à l’économie de l’emploi
rare». Ne pas y répondre, ne pas développer une nouvelle idéologie autour du
travail, c’est faire le choix de la misère la plus sombre pour nos enfants.
Donc j’attends de nos politiques qu’ils
répondent dès aujourd’hui aux questions que nous sommes de plus en plus nombreux
à nous poser.
Comment envisager l’économie et le fonctionnement de notre société avec une croissance qui ne dépassera que rarement un pour cent par an et ce pendant les vingt prochaines années ? Comment résoudre les problèmes d’emploi en tablant sur le fait que ce sont bientôt trente pour cent de la population active qui sera sans emploi ?
En allongeant le temps de travail, en
repoussant l’âge de départ à la retraite ?
Il faut qu’ils arrêtent tous de nous bourrer
le mou avec des slogans à la ‘’Klong’’ du genre « La reprise est devant
nous, je la vois pointer son nez, je sens la reprise elle est au bout du
tournant, etc. ». Ou ceux du genre « l’inversion du chômage est pour
demain ». Oui, demain on rase gratis.
Ouvrez grand les yeux, regardez l’état de l’économie
mondiale, c’est une catastrophe ! Nous sommes arrivés au bout d’un cycle
et, sauf miracle, sous forme d’une découverte qui amènerait une nouvelle
révolution dans l’évolution de nos sociétés, il est grand temps de se mettre à
penser comment gérer ce changement avec les données et les moyens qui sont
aujourd’hui à notre disposition.
Il s’agit d’un bouleversement profond de notre
société que nos dirigeants semble plutôt vouloir repousser qu’attaquer de
front.
Expériences, avis, critiques et commentaires, comme d’habitude sont les bienvenus.
Retrouvez-moi sur :
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Chaque jeudi de 18 à 20 h, 12 à 14 h en Europe sur Yahoo Messenger :
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