Sunday, March 1, 2015

ET ENSUITE ?

À la lecture de ce post, je suis certain que nombre d’entre vous vont me traiter de pessimiste, de défaitiste, de complotiste, voire plus. Néanmoins, compte tenu de l’évolution de la situation et de ce qui pourrait arriver, de ce qui va arriver, je persiste et je signe.


Avez-vous remarqué que petit à petit, insidieusement, sans en avoir l’air, l’on ou plutôt ‘’ils’’, sont en train de prendre possession de l’intégralité de votre vie ? Ils veulent tout savoir de vous afin de mieux vous contrôler. Ils vous formatent comme une disquette dès le plus jeune âge, vous manipulent, vous désinforment.

Ils vous observent, vous surveillent, vous épient, vous espionnent ; ils collationnent le maximum d’informations sur vous afin de savoir comment mieux vous désinformer ; ils veulent prévoir  vos réactions de façon à adapter leur stratégie. Ils vous manient, vous manœuvrent et vous vous laissez faire, sans régir. 

Pourquoi ?

Tout simplement parce que vous ne vous en rendez pas compte ! 

La chose est insidieuse et s’étale sur plusieurs dizaines d’années.
Je suis certain que la majorité d’entre vous, ceux qui ont défilé le 11 janvier dernier, étaient venus pour prouver leur attachement à la ‘’liberté d’expression’’, voire à la liberté tout court, voire également au refus que l’on puisse mourir pour des idées, pour des caricatures, fussent-elles du Prophète Mahomet.
Et bien vous vous êtes fait avoir !

Vous souvenez-vous de la démarche marketing des grandes surfaces dans les années 70, des produits d’appel présentés en tête de gondole, comme ils disaient, des rayons boucherie et poisson qui se trouvaient tout au fond des Supers et Hypers, des produits chers à hauteur des yeux ?

Le subconscient, ils utilisaient votre subconscient afin de vous faire acheter tel ou tel produit, plutôt que tel autre, déjà ils vous dirigeaient, mais il ne s’agissait alors que de vous faire acheter des produits.

De nos jours ils sont en train de faire la même chose au niveau de votre vie. Par l’intermédiaire de votre subconscient, ils manipulent votre cerveau. Il ne s’agit plus de guider votre choix vers tel ou tel produit, mais de diriger votre vie de telle ou telle façon et surtout de vous faire accepter les choses comme ils les ont décidées, comme ils les veulent, ceci dans leur seul intérêt. Tout ceci en vous mentant de façon éhontée à longueur de journée.


Ces jours-ci nous avons le scandale de la HSBC, mais toutes les grandes banques ont plus ou moins fait la même chose… Mais cette dernière est jetée en pâture ! Le peuple, le bon peuple a besoin de sang et le sang pourrait être celui de la HSBC.

Oh les vilains banquiers !

La HSBC, gênerait-elle quelque part ?                 
Une autre banque ? La Goldman par exemple ?
Une banque irréprochable s’il en est, tout juste impliquée dans quelques centaines de scandales… ah oui, il ne faut pas en parler, j’allais oublier. Elle paie, rubis sur l’ongle, les amendes qui lui sont infligées, mais sans bruit, sans faire de scandale, personne n’en parle, personne n’a intérêt à en parler, sauf à vouloir se faire clouer au pilori, sauf à attirer la haine, le mépris et la violence. 

C’est, de nos jours, la finance qui mène le bal !

Le bal des faux Q., le bal des tordus, le bal des Banques, de la Finance et des Multinationales.
Et vous dansez, vous dansez tous, ou presque, sur la musique qu’ils ont composée.

Si cela a commencé avec une valse, cela pourrait bien, cela va, se terminer en marche funèbre et vous aurez le choix.



Une marche en mineur, toutes ou presque ont été composées en mineur.
Ludwig van Beethoven, dans la symphonie Nº 3 (Eroica),
Berlioz, la marche funèbre, dans la scène finale de Hamlet,
Chopin, Frédéric de son petit nom, le troisième mouvement de la sonate pour piano Nº 3,
Toujours Chopin, pour sa marche funèbre pour piano en C majeur… une exception,
Celles de Ferdinand David, d’Anton Diabelli, de Zdenek Fibich, d’Edward Grieg, d’Haendel…
Mais celles que je préfère… la marche funèbre pour une marionnette  de Charles Gounod ou alors la marche des morts de Haendel…

Mais, j’aimerais bien entendre la musique des funérailles maçonniques (Wolfgang Amadeus Mozart tout de même), la chanson sans paroles de Felix Mendelssohn, le Ein deutsches Requiem de Brahms, voire, ou plutôt réentendre Duke Ellington  dans Black and Tan Fantasy. Une marche funèbre pour un enterrement de première classe, si possible l’enterrement de tous ces partis politiques qui ne nous mènent nulle part, sauf à la Mega catastrophe.


L’on nous raconte que la baisse de l’euro est une bonne chose !
Pour nous, Français, il nous sera plus facile d’exporter ! Cela pourrait être vrai, à la condition toutefois d’avoir des acheteurs. C’est l’économie mondiale qui est en panne, donc… qui va acheter ?
Voir à ce sujet le Baltic Dry Index, il n’a jamais été aussi bas, même en 1986.

Regardez les consommations d’électricité dans les principaux pays industrialisés, la consommation de pneus (il faut des pneus pour les camions qui transportent les marchandises), les importations et exportations de matières premières, les ventes de Caterpillar et autres engins du BTP et des mines, etc.
Je vous signale également que la grande majorité de nos exportations est destinée aux pays de la zone euro, donc la baisse de l’euro !!!

D’autre part, qu’allons-nous exporter, après la désindustrialisation forcée de la France ?

Ne vous y trompez pas ; il y a un lien  direct entre la désindustrialisation de la France, son déficit abyssal du commerce extérieur, sa perte d'influence dans le monde, la lente attrition des emplois qualifiés et les désastres industriels à répétition que notre pays a connu depuis vingt ans. 

De Péchiney à Arcelor, en passant par Bull, Alcatel, la Générale de Radiologie et aujourd'hui Alstom, la liste est longue de nos fleurons industriels qui ont été purement et simplement liquidés. Souvent bradés à nos pires ennemis, par l'absence de vision stratégique de la classe politique et de la haute administration, par la cupidité et l'incompétence de certains dirigeants d'entreprise qui ont fait passer leurs intérêts personnels avant ceux de la collectivité.


Que dire et penser de l’achat de mines d’uranium ‘’par Areva’’ ?
A qui profite le crime, ou plutôt les centaines de millions ?
Comme par hasard l’on retrouve le nom de Balkany, un proche de Sarkosy, étrange, étrange, vous avez-dit bizarre ?

Oui, il y a bien une corrélation entre l'étrange défaite de 1940, qui vit en quelques semaines l'effondrement de notre pays et celle, plus insidieuse et plus longue, qui voit le délitement de notre appareil industriel.

La baisse de l’euro

Pour moi, la baisse d’une monnaie n’a jamais été un bon signe !
Cette baisse de l’euro, qui vient s’ajouter à une baisse de 50 % du prix du pétrole, vous allez voir ce que vous allez voir, la croissance va repartir comme jamais, nous ont-ils annoncé !
Je suis loin d’être convaincu de la chose, laissez-moi douter.

Premièrement, la baisse du prix du pétrole a été limitée à la pompe par l’augmentation des taxes et par la baisse de l’euro. Il y a risque d’explosion de la bulle des gaz de schistes si jamais le cours du brut devait se maintenir à son niveau actuel, c’est une affaire de 4.500 milliards de US$, tout de même. Je rappelle que la crise de 2007 / 2008 était le résultat d’une bulle, principalement immobilière, de seulement 1.000 milliards de US$.

Deuxièmement, la baisse du pétrole pourrait au final provoquer un recul de la demande mondiale, estime le ministre russe des Finances.
La Russie a mis en garde le G20 contre les possibles conséquences négatives de la baisse du pétrole sur l’économie mondiale et appelle à examiner attentivement ses effets tant sur les États exportateurs que sur les pays consommateurs, a déclaré le ministre russe des Finances Anton Silouanov au terme de la première rencontre du G20.
« Nous avons parlé du fait qu’il n’était pas avéré que les pays exportateurs soient les seuls perdants dans un contexte de faibles prix », a-t-il indiqué.


Selon lui, le contexte actuel provoque une baisse de l’afflux de devises en direction des pays exportateurs, ce qui affaiblit leurs monnaies et réduit la consommation tant intérieure qu’extérieure.
« Les importations chutent, ce qui au final se répercute sur la demande mondiale », a-t-il indiqué.
Les cours du brut ont perdu environ 50 % de leur valeur depuis la mi-juin dernier, plombés par l’abondance de l’offre, le renforcement du dollar et la faiblesse de la demande dans un contexte de ralentissement généralisé de l’économie mondiale. Selon les analystes de Morgan Stanley, il y a « peu de raisons » qui empêchent les prix du pétrole de chuter davantage.
Source Sputnik     
    
Mon côté optimiste

Ici, aux Philippines et je précise dans la province de Cavite, à moins de soixante kilomètres de la capitale, les gens sont capables de vivre en autarcie. Nous avons, dans les ‘’Montagnes’’, des gens qui font pousser des légumes, dans une habitation sur deux se trouvent des cochons, les poules et canards sont légions, les arbres fruitiers donnent toute l’année, vaches et carabaos sont en nombre à paître dans les rizières, la mer et la rivière donnent poissons et crustacés, etc.  Donc, nous avons la possibilité de survivre, sans aide extérieure.

L’eau, l’électricité me direz-vous ?

L’eau nous en avons en quantité, il existe des moyens simples de la purifier. Je précise que la majorité des maisons locales possèdent une pompe à main pour l’eau, eau douce qui se trouve à moins de dix mètres de profondeur.


Si jamais cela devrait vraiment péter, il faudra oublier l’Internet, le téléphone, la télévision, la voiture…
Peut-être une station radio continuera-t-elle à émettre, avec un simple petit poste à transistors il devrait être possible de la capter. Une mini-centrale solaire devrait nous permettre de pouvoir bénéficier d’un peu d’éclairage, de ventilateurs, peut-être même d’un petit réfrigérateur, d’écouter les nouvelles du monde, si jamais une ou plusieurs stations continuaient à émettre.


Les médicaments pourraient-être un problème, plus particulièrement pour ceux qui souffrent d’une maladie chronique. Quelques provisions sont à envisager et l’apprentissage de la connaissance des plantes médicinales locales pourraient s’avérer être un bon investissement, etc.

De plus, sur l’archipel la solidarité, au niveau de la communauté, existe et elle est très forte.
Si vous avez réussi à tisser des liens au sein de cette communauté, vous êtes certain de ne pas mourir de faim. 
Donc tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, la croissance est là, même si elle est négative, l’inflation est également présente, même si elle aussi est négative, vos salaires augmentent, je précise pour ceux qui ont encore la chance d’avoir un emploi, quelque chose qui se fait rare de nos jours. Les impôts ne vont pas augmenter, le grand Vizir nous l’a promis, juré sur tous les Seins ; les taxes vont prendre une claque, mais comme vous êtes 72 % à vous y attendre, selon un récent sondage… vous ne serez pas surpris.
Les banques se portent comme des charmes au printemps, néanmoins vous être nombreux à avoir remarqué qu’il vous est de plus en plus difficile de retirer votre argent des banques, que ce soit aux guichets ou aux distributeurs. Vous êtes tous au mieux avec vos assureurs, ils vous règlent rubis sur l’ongle, même lorsque vous voulez sortir d’un contrat d’assurance vie (Axa et Agipi) ; pour ceux qui sont retraités, les pensions tombent régulièrement, aucun problème, même si la demi-part des veufs a disparue, etc. tout baigne.
La Grèce, tout est réglé, le pays affiche un excédent primaire exceptionnel, l’Espagne et le Portugal connaissent une très forte croissance et l’Irlande est sortie de ’’l’Auberge… Espagnole’’.

Quelques banques font bien faillite ici et là, en Italie et en Autriche par exemple, la pauvreté gagne du terrain en Allemagne ; la Suède se lance dans l’assouplissement quantitatif, un autre QE qui pourrait avoir une incidence sur la couronne norvégienne.

Tout est réglé au niveau de l’Ukraine avec les accords de Minsk ; l’Irak, l’Egypte, la Syrie, l’Afghanistan, le Pakistan, le Nigéria, le Mali, la Centre-Afrique, le Soudan, le Yémen, etc. tous des pays calmes et tranquilles où règne le bonheur de vivre.


Imaginons ce qui pourrait arriver, oh pas la fin du monde, pas l’apocalypse selon Saint Jean, non juste une petite chose, ce que l’on pourrait nommer ‘’pénurie de cash’’.
Rappelez-vous cet avertissement quand cela arrivera. C’est-à-dire quand vous irez au distributeur retirer de l’argent et qu’il n’y en aura pas !

Durant la dernière crise, toutes les grandes banques et sociétés d’investissement auraient fait faillite sans l’intervention des autorités. La prochaine fois, il ne sera peut-être pas aussi facile de les sauver. La prochaine crise affectera probablement toutes les classes d’actifs. Et avec 60 000 milliards de dollars de dettes supplémentaires dans le monde par rapport à 2007, ce sera probablement bien plus difficile à arrêter.

Dans un système monétaire "normal"… avec, disons, des pièces d’or ou même des morceaux de papier… les prix chutent. Mais l’argent est toujours là ; il ne disparaît pas. Il prend au contraire de la valeur parce qu’on peut l’utiliser pour acheter plus de choses. Naturellement, les gens le conservent. La vélocité, la vitesse de circulation de la monnaie chute, de sorte que "l’offre" de monnaie semble chuter aussi.

Imaginez maintenant ce qui se passe dans un système de monnaie à crédit. L’argent ne cesse pas simplement de circuler, il disparaît. Parce que le crédit sous-jacent disparaît. Tous les prix chutent. Soudain, le "crédit" ne vaut rien. Une personne qui avait des "actifs" (assurés par le crédit) de 10 000 € en juin pourrait se retrouver avec zéro en juillet. Une entreprise qui met des liquidités dans le rachat de ses propres actions une semaine, pourrait trouver ces actions divisées par deux la semaine suivante. 

Une personne ayant un portefeuille boursier de 100 000 € le lundi pourrait réaliser que son portefeuille n’a plus aucune valeur quelques jours plus tard.

Tout cela est relativement standard dans une crise du crédit. La nouveauté et elle est terrible, c’est que les gens feront ce qu’ils font toujours, mais se retrouveront forcés de le faire d’une manière radicalement différente. Ils cessent de dépenser. Ils stockent des liquidités. Mais quelles liquidités stocker lorsque la plupart des transactions sont faites à crédit ? Stocke-t-on une ligne de crédit ? Met-on sa carte bancaire dans son coffre-fort ?

Non. Les gens stockeront le genre de cash qu’ils comprennent… une chose sur laquelle ils peuvent littéralement mettre la main, une chose qui verra sa valeur augmenter réellement et rapidement. Ils voudront de la vraie monnaie, même du papier.
Suivant un schéma également bien connu, cette monnaie papier réelle disparaîtra rapidement. Les gens videront les distributeurs. Ils voudront de l’argent tangible, de l’argent à l’ancienne, de l’argent qu’ils peuvent mettre en sécurité chez eux et dans leurs poches.

Et ensuite ?               
L’on parle là d’une période très courte : des jours, peut-être des semaines, quelques mois tout au plus. Il s’agit de la période après que la crise du crédit ait aspiré tout le cash du système et avant que le tsunami d’inflation des gouvernements ne frappe.

Pendant cet intervalle, la panique s’installera. Une ruée sur les billets de banques, les gens cherchant désespérément à s’en emparer pour payer la nourriture, le carburant, se soigner, tout ce dont ils ont besoin.
Vous vous retrouverez avec une "carte de crédit" dont la réserve se monte à 10 000 euros. Mais toutes les institutions financières vacillent. Dans le journal, vous lisez que votre banque a fait faillite et a été placée sous tutelle. Que préféreriez-vous ? Votre réserve de crédit de 10 000 euros ou une pile de billets de 100 et 500 euros ?

Vous irez faire le plein à la station d’essence, au supermarché local, vous sortirez votre carte de crédit pour payer : "Paiement en espèces uniquement", dira un panneau. Parce que tout le mécanisme de l’économie du crédit sera en train de s’effondrer. La station-service, le supermarché, les fournisseurs et les financiers ne veulent pas se retrouver coincés avec un "crédit" de votre prêteur en faillite !

Quelles cartes de crédit seront encore bonnes ? Quelles réserves auront encore de la valeur ? Quelle banque est sur le point de faire faillite ? Qui honorera sa dette de carte de crédit ? Lors d’une crise, ces questions seront aussi ordinaires que "qui gagnera le championnat de ligue 1 " l’est  aujourd’hui.

Personne ne connaîtra les réponses. Rapidement, les gens cesseront de jouer aux devinettes… et se tourneront vers les espèces sonnantes et trébuchantes.

Gardez du vrai cash sous la main, vous pourriez en avoir besoin.

En un an, j’estime que les expatriés qui vivent ici, sur des pensions ou des revenus qui sont versés en euros, ont perdu entre quinze et vingt pourcent de leur pouvoir d’achat.

Dévaluation de l’euro vis-à-vis du dollar US et du peso, ainsi que l’inflation locale, inflation que nous ne devons surtout pas oublier. Notre euro qui tournait autour de 60 pesos il y a encore un an, n’en vaut plus que plus ou moins 50 aujourd’hui (je l’ai connu à 75) ! L’inflation, elle, tourne autour de 3,5 à 4,5 %.

Ceux qui ont suivi mes conseils, en diversifiant leurs devises et en mettant en place une réserve en pesos… ne sont pas perdants.


VIE DE TOUS LES JOURS...  AUX PHILIPPINES  !
Aujourd’hui je vais essayer de vous donner une petite idée de comment se passent mes journées et je vais également répondre à quelques questions qui me sont posées à travers vos commentaires.

Il faut savoir que les enfants sont en vacances, les grandes vacances et que ces dernières vont durer jusqu’au début du mois de juin. Donc nous nous levons sensiblement plus tard que nous le faisions généralement durant la période scolaire. Disons entre six heures trente-sept heures trente.

Quand il y a école, c’est une autre histoire, le lever s’effectue aux alentours de cinq heures, cinq heures trente. Il faut contrôler que le petit déjeuner, non seulement est préparé, mais que les gamins vont bien le prendre.



         http://expatauxphilippines.blogspot.com/2013/05/vie-de-tous-les-jours-aux-philippines.html



Expériences, avis, critiques et commentaires, comme d’habitude sont les bienvenus.

Chaque jeudi de 18 à 20 h, 12 à 14 h  en Europe sur Yahoo Messenger :
Pseudo < dtesteil >

Les articles de ce blog sont © Copyright protected. Leur reproduction, mise en réseau public ou privé, sous quelque forme sont interdites sans l'accord préalable de l'auteur.

Prendre sa retraite aux Philippines,
Pourquoi ?
7107 îles, plus de 36.000 kilomètres 
de côtes,des  milliers de plages de sable blanc, 
le soleil toute l’année ; des montagnes qui culminent 
à plus de 3.000 mètres,la jungle, les forêts, 
des paysages grandioses.
Une population chaleureuse et accueillante, 
des tribus colorées.Un excellent service de santé 
à un prix abordable. Le coût de la vie,un des plus bas 
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 EST-ELLE réelle ?
              Est-elle celle qu’elle
                Prétend être ?

Enquêtes et Investigations
                   Aux Philippines







7 comments:

Anonymous said...

Oui domy : le schiste est too big to fail. La consommation US ne repart pas. Le baltic dry index pas une bonne nouvelle surtout pour la zone Asie . Avoir un peu d USD et du lingot in pas au tungstène .
froggie the frog from Paris.

Anonymous said...

Pas sur que les philippines soient le meilleur endroit dans le cas d'un scénario catastrophe.
Ne pas oublier que de nombreux philippins vivent a crédit, et sur le dos des philippins expatriés qui seront eux, les premières victimes d'une crise économique aiguë : emplois mal payés, pas d'épargne, pas de logement payé à 100%....
Les bons occidentaux restés aux philippines pourraient bien jouer le rôle de pigeons à plumer pour pas mal de monde...

Anonymous said...

Et quid de la bulle chinoise immo : mall dans chaque ville moyenne et pas qu aux phips.
Devenir des prix immo makati bonifacio ...
froggie the frog from Paris

Thierry PINGAULT said...

Salut Domy, yahoo messenger me dit que "dtesteil" n'est pas un ID yahoo valide !
Comment vas-tu ?
Pourquoi plus de nouvelles ? Plus de réponses à mes messages ?
J'espère que les choses s'arrangent pour toi...
Quelques brèves nouvelles me feraient plaisir.
PS : tu n'es pas obligé de valider ce commentaire... dis-moi juste si tu es encore en vie !

Anonymous said...

Bonjour,

Journaliste pour l'émission de reportages et de témoignages CAPITAL Spécial été (M6), je prépare un reportage sur les français du bout du monde : « ILS SE SONT INSTALLES SUR LEURS LIEUX DE VACANCES ».

J’aimerais donc fortement pouvoir rencontrer et réaliser le portrait de Français qui se sont installés à l’autre bout du monde, et qui aimeraient nous faire partager leur expérience.

Je recherche tout particulièrement des Français de tous profils (entrepreneurs, couples, familles, retraités etc …) qui seraient à un tournant de leur aventure humaine (déménagement, nouveau travail, école, séjour à l’hôpital, anniversaire, accueil de la famille, etc …) afin de partager un bout de chemin avec eux !


L’objectif du reportage est de mettre en avant ces Français ayant su réaliser leur rêve, même si l’aventure est parfois loin du cliché idyllique que l’on peut fantasmer. Grâce à ces portraits, nous allons aborder concrètement les avantages et les déconvenues à la fois économiques et humains à s’expatrier à l’autre bout du monde.


Mon cameraman et moi-même nous déplaçons dans le monde entier et nous partagerons un « bout de chemin » avec ces « hirondelles de tous profils.

Dans tous les cas n’hésitez surtout pas à me rappeler afin d’en discuter plus longuement ensemble.

Le reportage étant prévu pour le mois de mai (du 4 au 16 mai), mes délais sont assez courts pour préparer le reportage. J’attends donc de vos nouvelles dès aujourd’hui !!

Bien à vous et à très vite j’espère,

Morgane Wald
JOURNALISTE
CAPITAL (M6)
Tel :06 20 32 56 10
Mail : morgane@soda-presse.fr

Domy Testeil said...

A l'attention du journaliste de Capital spécial été (M6).

Ayant bourlingué dès mon plus jeune âge, l'on ne peut pas vraiment dire que je me suis installé sur mon lieu de vacances !

Pour moi "la France était les vacances". Néanmoins, compte tenu du nombre important d'expatriés français que je connais sur l'archipel, je devrais, avec leur consentement, pouvoir vous présenter les différentes catégories de personnes que vous souhaitez rencontrer dans le cadre de votre reportage. Me laisser un lien professionnel me permettrait de vous joindre plus aisément.

Thierry PINGAULT said...

Curieux de voir si la dame "journaliste" va répondre... tu serais le premier !... depuis 5 ans qu'elle sévit sur les réseaux sociaux et les blogs avec toujours ce même message ! (regarde mon enquête sur FB)